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Le Parrain de Hong-Kong

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les avis de Cinemasie

7 critiques: 2.46/5

vos avis

10 critiques: 2.83/5

visiteurnote
Secret Tears 2.75
QuyTam 1.5
Phildu62 2.75
Manolo 4
lo sam pao 3
jool 3.25
Jérémy 2.75
Fred30 2.5
bwoo 2.75
Bastian Meiresonne 3


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Mouais, à la rigeur

Un film long et ambitieux sur le portrait d'un Scarface local. Rien de bien excitant, de nombreux pompages sur des films noirs américains, on s'ennuie ferme pendant 2h. A voir pour Ray Lui, Kent Cheng et pour l'ambition du projet qui tombe toutefois souvent à plat.

27 janvier 2003
par Jérémy


Trés moyen

Ce film n'est pas mal foutu:dialogues,acteurs,cadrages... mais on s'ennui un peu et surtout on a l'impression de voir un film américain et non hongkongais

11 février 2003
par bwoo


Tirer le gros lot (lot)

Derrière "Le Parrain de Hong Kong" se cache une nouvelle fois le – à l'époque – glorieux duo des frères Mak. Auréolés "parrains du polar hongkongais" suite au fulgurant succès de leur série des "Long Arm of the Law", ils vont finir par asseoir leur renommée en signant deux énormes succès coup sur coup en cette même année 1991: les films soft-porn avec "Sex and Zen" et les biographies de gangsters célèbres (continué par le diptyque "Lee Rock" ou leur propre "Lord of the East China Sea"). Avant de sortir le film, personne n'avait prévu le fulgurant succès de ce "Parrain", promu sur le fait qu'il s'agissait du "film HK le plus long" avec ses 140 mn et non pas d'être l'adaptation biographique du vrai gangster "Gimpy Ho", ayant régné sur la pègre de l'archipel de 1962 (date de son arrivée) jusqu'à 1975 (date de son arrestation). Le film allait engranger près de 40 millions HK dollars, un incroyable exploit pour l'époque (et de nos jours). En même temps, créateurs et acteurs ont mis le paquet; le film prend des allures d'une véritable superproduction, dans le style des plus grands polars américains (les films de Scorsese cités en tête), avec un casting de premier choix, duquel se distingue l'acteur principal Ray Liu – moins pour ses prouesses d'acteur parfois limités, plutôt que pour ses 20 kg expressément pris pour son rôle. L'histoire est dense, la lutte au pouvoir sanglant et les rebondissements nombreux. Pourtant, il manque quelque chose d'essentiel à l'ensemble: une âme. Les personnages sont pour la plupart aussi glacés, que la lumière bleutée baignant les décors; leurs relations insuffisamment esquissées pour réellement émouvoir. Le frère d'arme déçu ou la fidèle femme de Ho sont des personnages secondaires réellement forts, mais ne sont – à l'instar du reste du casting – que superficiellement traités et sacrifiés sur l'autel d'un rythme galopant d'un épisode de la vie à un autre. Alors que la première partie tente de dresser d'intéressants parallèles avec la situation politique de l'époque de l'intrigue (et celle plus actuelle dans les années 1990), elle fourmille de trop d'intervenants et n'est pas suffisamment maîtrisée narrativement pour réellement passionner. La suite, dépeignant l'ascension au pouvoir, s'attarde curieusement sur des histoires de cul sans réel intérêt, outre que de se focaliser sur des poitrines généreuses de leurs interprètes…enfin, la dernière partie est plus attendue et offre effectivement son lot de scènes obligatoires (trahisons, déchéance, etc) sans réellement innover. Dommage, car la flamboyance des décors et la grandeur de l'ensemble laissait entrevoir un meilleur spectacle; reste la curiosité d'un autre témoignage majeur de l'Histoire du Polar HK.

15 janvier 2007
par Bastian Meiresonne


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